Portes ouvertes de toutes les écoles de MonAvenir

Les 62 écoles élémentaires et secondaires du Conseil scolaire catholique MonAvenir ouvriront leurs portes du lundi 6 au jeudi 16 février.

Ce sera l’occasion pour les futurs élèves et leurs familles de rencontrer le personnel et de découvrir l’environnement qui pourrait accueillir leur enfant en septembre prochain.

Toutes les raisons sont bonnes

Tous sont bienvenus, «quelles que soient les circonstances», assure le Conseil:

• «Que votre enfant rentre à la maternelle en 2023 (enfants nés en 2019).
• Que vous cherchiez une autre école pour votre enfant.
• Que vous soyez nouvellement arrivé.
• Que vous ayez déménagé.
• Que votre enfant soit déjà en école d’immersion.»

«Nous savons que les parents ont besoin de visualiser et de rencontrer les personnes qui feront partie de la vie de leur enfant et qui le soutiendront dans son apprentissage», indique la présidente Geneviève Grenier.

Accueil personnalisé

«Les soirées d’information permettent aux parents de prendre connaissance de l’environnement scolaire bienveillant et sécuritaire et de l’ambiance chaleureuse qui caractérisent nos écoles. Une expérience vaut mille mots.»

Les membres du personnel accueillent les familles, se présentent et font connaître leur école.

«Chacune de nos écoles présente de multiples avantages tant par son niveau d’excellence académique, son accueil, son environnement 100% francophone, ses valeurs catholiques, son environnement inclusif et son encadrement personnalisé à chaque enfant.»

André Blais, le directeur de l’éducation, précise qu’en cas d’indisponibilité, il est toujours possible de fixer un rendez-vous personnalisé avec la direction de l’école de votre secteur.

«Les nouvelles inscriptions sont acceptées en tout temps. Les parents sont toutefois encouragés à soumettre leur formulaire d’inscription (en ligne) dès que possible.»

Le Conseil scolaire catholique MonAvenir accueille plus de 17 000 élèves de la maternelle à la 12e année, au sein de ses 47 écoles élémentaires, 1 école intermédiaire, 1 école virtuelle, 11 écoles secondaires et 2 écoles élémentaires et secondaires établies sur un territoire qui s’étend de la péninsule du Niagara à Peterborough, en passant par Toronto.

Départ d’André Blais

Le Conseil a par ailleurs annoncé récemment qu’André Blais quittera ses fonctions en juin. Après une trentaine d’années dédiées à l’éducation catholique de langue française, il prend sa retraite.

Originaire de Chelmsford en Ontario, il a d’abord été enseignant, puis directeur d’écoles dans la région de la Baie Géorgienne et de Barrie. Il a été responsable des écoles secondaires du Conseil MonAvenir avant d’accéder au poste de directeur de l’éducation (directeur général) à l’automne 2015.

C’est lui qui a piloté en 2017 la réforme de l’identité corporative du conseil scolaire MonAvenir, jusqu’alors connu sous le nom Conseil scolaire de district catholique Centre-Sud.

Il a travaillé à l’élargissement du réseau d’écoles, notamment à Caledon, Scarborough, Stouffville, Milton, Etobicoke et Peterborough. À Oakville et Cambridge, les deux écoles secondaires ont profité d’agrandissement. D’autres projets ont été initiés, dont la construction d’une nouvelle école secondaire à Vaughan et celui d’une école élémentaire à Cobourg qui débutera sous peu.

La présidente Geneviève Grenier a rendu hommage à «son leadership assidu tout au long de la pandémie, alors que les écoles et les communautés scolaires devaient s’adapter aux mesures sanitaires et à la prestation d’une éducation devant être livrée à distance, en virtuel».

Le Conseil continue ses démarches pour obtenir des terrains à Mississauga, Brooklyn et Brampton afin d’y bâtir de nouvelles écoles. Et le démarchage politique se poursuit pour obtenir de nouvelles installations pour l’école secondaire Académie catholique Mère-Teresa à Hamilton, et pour ouvrir une nouvelle école secondaire au centre-ville de Toronto.

«J’ai eu le grand honneur de passer ma carrière en entier au sein du Conseil scolaire catholique MonAvenir», a commenté André Blais. «J’ai pu voir le réseau de l’éducation catholique de langue française s’agrandir et s’épanouir.»