En Ontario, non seulement chacun des trois paliers des tribunaux diffuse de l’information en français sur les mesures prises dans le cadre de la pandémie, mais des membres de la magistrature se rendre disponibles pour participer à des rencontres virtuelles avec des juristes d’expression française.
À l’instar de quatre juges de la Cour d’appel de l’Ontario qui ont participé le 30 avril dernier à une rencontre virtuelle sur les mesures des tribunaux en temps de pandémie, quatre juges de la Cour supérieure de justice en ont fait autant le 21 mai dernier.
Quatre juges de la Cour supérieure
Au moment de sa nomination, le 19 décembre 2017, à la Cour supérieure de justice de l’Ontario, à Toronto, Jill Copeland est, depuis août 2014, juge de la Cour de justice de l’Ontario où elle préside dans les deux langues officielles des affaires criminelles et des affaires relevant des tribunaux de la jeunesse.
Avant sa nomination à la magistrature, elle a exercé dans les domaines du droit criminel, constitutionnel et administratif pendant 19 ans en pratique privée, puis comme avocate de l’Ordre des médecins et chirurgiens de l’Ontario.
De 2007 à 2010, elle est conseillère juridique principale de la juge en chef du Canada. De par ses fonctions, elle assiste la juge en chef dans l’administration de la Cour suprême du Canada, du Conseil canadien de la magistrature et de l’Institut national de la magistrature.