NOUVELLES ET COMPTES-RENDUS D’ÉVÉNEMENTS
Mettez la nouvelle, le propos ou l’information la plus intéressante dans le premier paragraphe.
Répondez d’abord à la question QUOI? De quoi s’agit-il? Suivi de QUI a dit ça, de QUI on parle, OÙ, QUAND, COMMENT, dans quel contexte. Suivi des informations ou explications secondaires.
Commencez avec la RÉVÉLATION ou la NOUVELLE. Si on annonce ou mentionne plusieurs choses: commencez par la plus INTÉRESSANTE ou le propos le plus PERCUTANT.
Évitez le compte-rendu LINÉAIRE, CHRONOLOGIQUE. L’ordre dans lequel vous avez appris les informations n’est pas important. Les conditions dans lesquelles vous avez couvert l’événement non plus.
Évitez la description pour les AVEUGLES comme: «Après la présentation des invités, Untel a débuté son intervention en disant que…», ou comme: «Pour conclure cette conférence, Untel est remonté sur scène et a repris la parole pour dire que…»
Ne cachez rien d’important au lecteur au milieu ou à la fin de l’article. Le lecteur a le droit de cesser de lire votre article s’il considère qu’il n’apprend plus rien, ou que finalement ce sujet ne l’intéresse pas.
TITRE et SOUS-TITRE
Comme le premier paragraphe de votre article, le titre doit traiter de la nouvelle ou du propos le plus intéressant ou percutant. (Le premier paragraphe contient généralement la même information que le titre, en plus détaillée.)
Le titre et le premier paragraphe doivent aussi contenir les MOTS-CLÉS les plus susceptibles d’être recherchés dans Google par les gens intéressés à votre sujet.
Idéalement, le titre devrait contenir un verbe d’action.
Évitez de titrer sous forme de QUESTION quand vous pouvez apporter une RÉPONSE.
Le SOUS-TITRE peut aider à situer le titre. Exemple de titre: «Stef Paquette est passé de la chanson à l’humour». Sous-titre: «En spectacle à l’AFT le 24 mai»
Le SOUS-TITRE peut aussi ajouter une information pertinente ou qui relativise le titre. Exemple de titre: «La carte-photo de l’Ontario, un outil très utile». Sous-titre: «Mais aussi pour les fraudeurs!»
Essayez de trouver votre titre avant d’écrire votre article. Vérifiez que votre titre est encore bon après avoir écrit votre article. N’hésitez pas à en discuter avec vos collègues qui pourraient avoir une meilleure idée ou trouver un mot plus juste. Laissez reposer et réévaluez votre titre (et la photo principale de votre article) avant de publier.
RÈGLE NUMÉRO 1
Ne jamais reprendre le titre d’un communiqué de presse comme «L’AFO dévoile son nouveau logo…», «Le gouvernement présentera un projet de loi sur…», «L’Académie annonce le lauréat de…» Le titre et le lead doivent porter directement sur la nouvelle, le contenu ou le propos: le logo, la réforme proposée, le nom du lauréat, etc.
ERREURS DE DÉBUTANT (1)
Ne prenez pas le contexte de l’événement que vous avez couvert pour le sujet de votre article:
Si vous couvrez une conférence, votre sujet n’est pas le fait qu’une conférence a eu lieu. Votre sujet est le propos entendu ou la nouveauté apprise. Ne titrez pas «Conférence de Untel à tel endroit»: titrez sur la nouvelle ou l’idée centrale exposée.
Ne commencez pas votre article par «Untel a prononcé une conférence à tel endroit à telle date et à telle occasion»: récupérez la nouvelle ou le propos à votre compte, comme si vous l’aviez trouvé vous-même. Le contexte et les détails suivent la nouveauté ou le propos important.
Si vous couvrez un spectacle ou interviewez un artiste, ne titrez pas «Spectacle de Untel» ou «Interview avec Untel»: rapportez quelque chose d’inédit sur ce spectacle ou sur cet artiste. Le contexte et les détails suivent la nouveauté ou le propos important.
Si un rapport est publié, ne titrez pas «Centième rapport de la FCFA» ou «Une nouvelle étude controversée» (OK comme sous-titres). Rapportez le propos le plus marquant du rapport: «De plus en plus de Canadiens sont bilingues» ou «Les profs sont régulièrement intimidés par leurs étudiants».
TEXTE
La plupart de nos articles font de 500 à 700 mots.
Faites plusieurs petits paragraphes plutôt que quelques gros.
Privilégiez les phrases courtes.
ÉVITEZ LES RÉPÉTITIONS: si vous avez déjà mentionné la formation, la fonction, l’âge ou le lieu de naissance de quelqu’un, pas besoin de le répéter plus loin. Ne répétez pas qu’une activité est gratuite ou à l’extérieur ou par qui elle est organisée.
RELISEZ-VOUS (idéalement à voix haute) pour éliminer les répétitions, pléonasmes, adverbes superflus, abus de propositions subordonnées, phrases trop longues, etc.
Ajoutez des intertitres INFORMATIFS ou INTRIGANTS ou AMUSANTS à tous les deux ou trois paragraphes. (Format Texte2 dans WordPress)
N’écrivez pas hier ou demain, parce qu’on ne sait pas quand les gens lisent l’article. Précisez ce vendredi 13 décembre si c’est dans la semaine. On peut écrire la semaine dernière ou le mois prochain pour les événements plus lointain.
* * *
Mettez les ACCENTS sur les majuscules: É, À, Î, Ç, etc.
Le nom d’un ministère commence par une majuscule, pas le mot «ministère». Exemples: ministère de l’Éducation, la ministre Lisa Thompson, la ministre de la Santé et des Soins de longue durée, le ministre des Affaires francophones, etc. On écrit en minuscules premier ministre, président, directeur général, chef, coordonnateur, ambassadeur, reine, pape, etc.
On écrit Parti libéral et les Libéraux (membres ou électeurs de ce parti) avec majuscules, mais le libéralisme, un libéral (philosophie) et une loi libérale (adjectif) avec minuscules. On écrit la Loi sur les langues officielles, mais la loi en général.
Attention à Canadien ou Torontois ou Français NOMS (majuscules) VS canadien ou torontois ou français ADJECTIFS (minuscules). Exemples: un Français en lice, une personnalité française, une artiste québécoise, la Québécoise Céline Dion, les Chrétiens, les Juifs et les Musulmans, une paroisse catholique, l’Église catholique, les Catholiques, les Protestants, les Blancs et les Noirs, les suprémacistes blancs, les rappeurs noirs, les Premières Nations, les Autochtones, l’artiste autochtone, etc.
Les NOMS hommes, femmes, francophones, anglophones, gais, homos, hétéros, trans, queer prennent des minuscules. (On préfère LGBTQ à LGBT ou à LGBTQ2A+…)
* * *
Utilisez les GUILLEMETS français: « »
Fermez les guillemets APRÈS le point dans une phrase complète entre guillemets. Fermez les guillemets AVANT le point ou la virgule quand seul un bout de phrase est entre guillemets.
Ne mettez pas d’ESPACE entre les guillemets, les ponctuations, le %, les heures. Exemples: 25%, «Bravo!», 20h, 20h30.
Mettez des ESPACES dans les nombres et avec des dollars: 500 000 $ ou 20.95 $
Précisez dollars US ou $ US quand c’est le cas. Utilisez le système métrique, en convertissant, au besoin, les pieds et les milles en mètres et kilomètres.
Écrivez 1er, 1re, 2e… pas 1ier, 1ère, 2ième…
Mettez en ITALIQUES: L’Express, l-express.ca, les noms de médias, les titres de livres, films, spectacles, les noms de bateaux et de capsules spatiales, les mots anglais dans une citation quand un mot français aurait été préférable.
Exceptionnellement, pour faciliter la lecture, vous pouvez mettre des noms ou petits groupes de mots en CARACTÈRES GRAS dans des énumérations (liste de gagnants de prix ou liste de mesures proposées ou liste de conseils pratiques).
N’écrivez pas Monsieur ou Madame au long, juste M. et Mme
MORT AUX ANGLICISMES!
Écrivez courriel au lieu de mail, stationnement au lieu de parking, magasinage au lieu de shopping, courtier au lieu de trader, jeune entreprise au lieu de start-up, réseautage au lieu de networking, mot-clic au lieu de hashtag, remue-méninges au lieu de brainstorming, gai au lieu de gay, commanditaire au lieu de sponsor, compter ou marquer au lieu de scorer, blocs de départ au lieu de starting blocks, ovation debout au lieu de standing ovation, divulgâcheur au lieu de spoiler, défi au lieu de challenge, fausses nouvelles ou faussetés au lieu de fake news, tueur en série au lieu de serial killer, la rue Yonge au lieu de Yonge Street, la Tour CN au lieu de la CN Tower, etc.
Malheureusement, il y a de multiples exceptions. On peut alterner entre vedette et star, partisan et fan, spectacle et show, groupe et band, chef et leader, distribution et casting… On utilise les sigles anglais AGO, ROM, TTC, GTA pour Musée des Beaux-Arts de l’Ontario, Musée royal de l’Ontario, Commission des transports de Toronto, Région du Grand Toronto.
On écrit la covid, comme le sida, en lettres minuscules.
LE MOT «FRANCOPHONE»
En milieu minoritaire, nous nous définissons souvent comme «francophones», et c’est le cas de nos organismes «Centre francophone de…», «Association des retraités francophones de…», etc. Mais ça devient répétitif dans nos articles et dans nos titres.
Demandez-vous toujours si le mot «francophone» est nécessaire dans le titre. Si vous parlez des retraités francophones ou des artistes francophones ou des écoles francophones, pas besoin de «francophones» dans le titre: le lecteur le pressentira ou le comprendra assez vite en lisant l’article.
PAS D’OPINION GRATUITE
Dans une nouvelle ou un reportage, n’insérez pas gratuitement des slogans ou de l’idéologie comme si c’était des faits ou des vérités.
Il faut souvent mettre ces expressions entre guillemets pour indiquer que c’est controversé: résurgence des inégalités, exacerbation des injustices, crise du capitalisme, crise de la démocratie, fausse nouvelle, consensus scientifique, crise ou urgence ou dérèglement climatique, climatosceptique, négationniste, climatocrédule, réchauffiste, maniaque, alarmiste, catastrophiste, hystérique, conspirationniste, complotiste, désinformateur, désinformation, masculinité toxique, machisme, patriarcat, féminisme radical, culture du viol, homophobie, transphobie, sexisme systémique, racisme systémique, privilège blanc, personne racisée, immigration massive ou hors de contrôle, grand remplacement, islamophobie, ultra-nationalisme, populisme, extrême droite, extrême gauche…
Même s’il n’y a qu’une réalité (toujours à mieux comprendre), il n’y a pas de pensée unique en politique ou en économie, ni en histoire ou en science. Il est souvent préférable de dire «DES experts soutiennent que»… plutôt que «LES experts savent que»…
Évitez de vous proclamer détenteur de la vérité en titrant «Trump dit faussement que…» ou «Manifestation de complotistes»… Il est préférable de titrer: «Trump prétend que…» ou «Manifestation d’opposants à»…
REPORTAGE
Avant de couvrir un événement ou de traiter un sujet, RECHERCHEZ et LISEZ dans l-express.ca ce qui est déjà paru là-dessus. Sachez d’avance à qui vous parlerez, qui organise l’événement, qui sera là, ce qu’ils ont fait dans le passé, à quel endroit, etc.
Quand vous couvrez un événement, identifiez-vous aux organisateurs et aux participants pour qu’ils sachent que ce sera dans L’Express.
Les meilleures PHOTOS/VIDÉOS sont celles où l’on voit des HUMAINS: l’artiste à côté de son oeuvre, des gens sortant de l’édifice, des gens attablés au restaurant, le chef d’un restaurant dans sa cuisine, le proprio d’une boutique derrière son comptoir, des gens sur une plage ou dans un site touristique, etc. Pas juste des oeuvres d’art, des monuments, des décors ou de la nature.
Prenez des PHOTOS/VIDÉOS de loin et de proche, des foules et des individus, de l’événement dans son ensemble et d’éléments distincts, et des gens que vous comptez mentionner ou citer. Si c’est permis, avancez-vous: généralement, ça se fait dans une conférence ou une foire ou un concert rock; ça ne se fait pas pendant une pièce de théâtre ou un concert classique… Dans le doute, demandez aux organisateurs.
Tâchez d’obtenir les noms des personnes que vous photographiez. Si vous croyez avoir mal compris, demandez aux gens d’épeler leur nom. Googlez les gens dont vous parlez pour vous assurer que vous avez le bon orthographe de leur nom et la bonne description de leur fonction.
Dans vos articles, tâchez de ne pas mentionner ou citer quelqu’un à qui vous n’avez pas parlé, ou qui ne sait pas que vous allez le mentionner ou le citer. Vous pouvez citer ce que quelqu’un a dit à d’autres médias. Exemple: «Il a déclaré à Radio-Canada que…» ou «Elle a écrit sur Facebook que…»
Citez des propos originaux, édifiants, pas des informations banales comme «Notre concert aura lieu à l’Alliance française le 24 mai.»
Vous êtes toujours à la recherche de PRIMEURS ou d’informations intéressantes: dites-le aux gens que vous croisez dans les événements que vous couvrez. Les gens croient que les journalistes savent tout ce qui se passe: il faut toujours les encourager à nous contacter et nous alerter.
ERREURS DE DÉBUTANT (2)
Ne vous contentez pas des seuls propos publics d’un conférencier, artiste, organisateur d’événement ou de la personne que vous avez interviewée: posez des questions sur des sujets ou des détails qu’il ou elle n’a pas abordés.
Sachez qui est votre interlocuteur: lieu de naissance, parcours personnel et professionnel, nombre d’années à Toronto, formation, profession, expertise, expériences, voyages, politique, religion, orientation sexuelle s’il le faut. Tout n’est pas publiable, mais on ne sait jamais d’avance ce qui sera pertinent.
Votre article doit répondre à toutes les questions qu’un lecteur (et votre rédacteur en chef) peut se poser, pas seulement à celles auxquelles votre interlocuteur a daigné répondre.
MEILLEURS SUJETS
Demandez-vous si votre sujet est relié à Toronto et à ce qui s’y passe,
si c’est actionnable et a le potentiel d’améliorer la qualité de vie de nos lecteurs,
si c’est intéressant ou important à savoir pour un Franco-Torontois.
En lisant le TITRE de votre article, le lecteur devrait déjà identifier ces avantages.
Pour avoir une bonne idée de ce qui nous intéresse, examinez nos «Revue de l’année pour la francophonie torontoise».
LIENS ET IMAGES
La plupart des sites web canadiens sont bilingues (boutons EN et FR). Assurez-vous que vos hyperliens mènent à des pages françaises. Quand vous faites des captures d’écran de pages web, assurez-vous qu’il s’agit de pages françaises.
RESSOURCES LIBRES DE DROITS
On n’a pas le droit d’utiliser des photos d’autres médias ou agences de presse ou agences de photos (Toronto Star, Radio-Canada, PC, AFP, Getty Images, Dreamstine, etc.). Attention: la recherche «libre de droit» sur Google est parfois trompeuse.
On a le droit d’utiliser les photos des sites de gouvernements, associations, entreprises, universités, distributeurs de films, théâtre, maisons d’édition de livres ou de disques, les photos promotionnelles d’artistes, d’écrivains et de personnalités publiques, et les photos que les gens affichent d’eux-mêmes sur les médias sociaux, leurs sites web, rapports annuels, etc. Attention: certains sites ou personnes affichent des photos non libres de droits sans autorisation.
On a le droit d’utiliser des photos d’autres médias quand ils indiquent que la photo est une courtoisie ou une photo officielle d’un site public qu’on aurait pu demander ou trouver nous-mêmes.
On a le droit d’utiliser les photos d’archives de l-express.ca prises dans un autre contexte. Pendant la couverture d’événements publics ou mondains, c’est d’ailleurs une bonne pratique que de prendre des photos de plusieurs participants uniquement pour enrichir nos archives de photos.
Wikimedia Commons est la seule source libre de droit sécuritaire. l-express.ca est abonné à iStock.
MELLEURES PRATIQUES VIDÉO
Visite Express:
Allan Gardens https://l-express.ca/allan-gardens-un-jardin-dhiver-dans-la-ville-aux-choux/
Temple du Hockey https://l-express.ca/le-temple-de-la-renommee-ne-niaise-pas-avec-la-puck/
Entrevue, reportage:
Cinéfranco https://l-express.ca/cinefranco-jeunesse-attire-les-foules/
Compostage https://l-express.ca/visite-dune-usine-a-compost-de-toronto/
Restaurant, gastronomie:
Hadrien https://l-express.ca/une-petite-boulangerie-de-quartier-sur-dundas/
VÉRIFICATION FINALE (en lien avec TUTORIEL WORDPRESS )
Quand vous pensez avoir terminé, vérifiez que vous avez:
– Un titre et un premier paragraphe qui portent sur le plus important
– Un sous-titre utile
– Des phrases courtes et un texte aéré par plusieurs paragraphes
– Des intertitres utiles
– Une bonne photo principale avec légende
– D’autres photos, vidéos, illustrations, tweets pertinents dans le texte
– Des grandes photos dans le texte centrées (et/ou des petites photos de tête à gauche)
– Des liens avec les organismes mentionnés et avec des articles de l-express.ca (ouvrant une nouvelle fenêtre)
– 1 méta-description et 1 extrait
– 1 mot-clé principal (requête cible) et des synonymes
– 3 articles reliés (related posts)
– 1 ou 2 mots-clés (à droite)
– Une seule chronique (à droite): Toronto, Bien vivre, Opinion ou Ici et là
Si vous avez changé le titre ou le premier paragraphe, vérifiez que ça correspond encore à l’identifiant et aux extraits.
Dans la bibliothèque de médias, donnez le même titre, facile à retrouver plus tard, à toutes les photos de votre article, même celles dont vous ne vous servez pas. Donnez une légende unique à toutes les photos.
Cliquez sur «Aperçu» pour vous relire et examiner le produit fini.
MÉDIAS LOCAUX ET SOURCES IMPORTANTES
http://ici.radio-canada.ca/ontario/toronto
Pages Facebook: PVTistes, PVTistes.net Canada, PVT Croutard Toronto, French in Toronto, Français à Toronto, Québécois à Toronto, Je suis Franco-Ontarien, Fier d’être Franco-Ontarien, Nous sommes Franco-Ontariens, Débat Franco-Ontarien, Francophones/Francophiles de Toronto, Je suis francophone au Canada, Français Du Monde Toronto, Les Français au Canada, Les parents de Toronto, Je parle français à Toronto,
Pages Twitter de la mairesse de Toronto Olivia Chow et de la Ville de Toronto
https://www.theglobeandmail.com/
LES PRINCIPAUX ORGANISMES FRANCOPHONES
Centre francophone du Grand Toronto (communautaire)
Alliance française de Toronto (culturel)
Club canadien de Toronto (professionnels et gens d’affaires)
Festival Cinéfranco
Le Labo d’arts médiatiques
Centres d’Accueil Héritage (pour aînés)
ÉDUCATION:
Conseil scolaire Viamonde (réseau public d’écoles primaires et secondaires)
Conseil scolaire catholique MonAvenir (réseau public d’écoles primaires et secondaires)
Plusieurs écoles d’immersion française (pour les enfants de familles anglophones) sont gérées par les conseils scolaires anglophones TDSB et TCDSB.
Toronto French School (école secondaire privée canadienne d’immersion française)
École La Citadelle (école primaire et élémentaire privée canadienne bilingue)
Lycée français de Toronto (école secondaire privée suivant le curriculum de France)
Collège Boréal (postsecondaire technique)
Collège La Cité (postsecondaire technique)
Campus bilingue Glendon de l’Université York
Université de l’Ontario français
POLITIQUE:
Association des communautés francophones de l’Ontario à Toronto (ACFO-Toronto)
Assemblée de la francophonie de l’Ontario (AFO)
Canadian Parents for French (CPF, le lobby des écoles d’immersion)
Commissariat aux services en français de l’Ontario (sous l’Ombudsman)
Ministère des Affaires francophones de l’Ontario
Consulat général de France à Toronto
Comité consultatif des Affaires francophones de la Ville de Toronto
TORONTO:
Ville de Toronto: https://www.toronto.ca/
TTC (transports en commun): http://www.ttc.ca/News/index.jsp
Police: http://www.torontopolice.on.ca/
À SAVOIR SUR LE GRAND TORONTO
La ville actuelle de Toronto est formée d’anciennes municipalités considérées aujourd’hui comme des secteurs (plus gros que des quartiers): Etobicoke, North York, Scarborough, York, East York, le centre-ville.
Le Grand Toronto ou le Toronto métropolitain (Greater Toronto Area ou GTA) est formé de la ville de Toronto et des régions environnantes de Halton (ouest), Peel (nord-ouest), York (nord), Durham (est).
Le GTHA (Greater Toronto and Hamilton Area) va du Grand Toronto à Hamilton, en passant par Mississauga, Oakville et Burlington.
À SAVOIR SUR LE SYSTÈME CANADIEN
Comme au Royaume-Uni et en Australie: sous la couronne britannique, supervisé par un gouverneur général (fédéral) et des lieutenants-gouverneurs (provinces):
– un gouvernement fédéral (Justin Trudeau premier ministre du Canada),
– des provinces relativement autonomes (Doug Ford premier ministre de l’Ontario, la province la plus populeuse du pays; François Legault, premier ministre du Québec, la province majoritairement francophone).
– des villes qui relèvent des gouvernements provinciaux (Olivia Chow mairesse de Toronto, la ville la plus populeuse du pays et la plus multiculturelle au monde).
* * *
L’anglais et le français sont langues officielles pour tous les services fédéraux, partout au pays.
L’Ontario offre plusieurs services en français (les provinces s’occupent surtout des hôpitaux, des écoles et des tribunaux).
La Ville de Toronto (police, transports, voirie) n’est pas tenue d’offrir ses services en français et ne le fait pas: tout est en anglais.
Le quart des Canadiens sont de langue maternelle française, mais la majorité d‘entre eux vivent au Québec. Il y a 5% de francophones en Ontario, presque tous parfaitement bilingues. Environ 10% des Ontariens anglophones sont bilingues à divers degrés.
Familiarisez-vous avec la géographie canadienne: les provinces de l’Est, du centre et de l’Ouest, les plus et les moins populeuses, leurs principales caractéristiques… (Pour ne pas avoir l’air stupide si quelqu’un vous dit qu’il vient de la Saskatchewan et que vous ne savez pas où ça se trouve…)
MATIÈRE À RÉFLEXION
George Orwell : «Journalism is printing what someone else does not want published; everything else is public relations.»
Finley Peter Dunne : «The job of the newspaper is to comfort the afflicted and afflict the comfortable.»
Patrick Poivre D’Arvor : «Le but du journalisme n’est ni de déplaire ni de complaire. C’est de remuer la plume dans la plaie.»
Jean Paré : «Être journaliste, c’est être conscient de son environnement.»
Mark Twain (apocryphe) : «If you don’t read newspapers, you’re uninformed. If you do, you’re misinformed.»
Jean-François Revel : «La civilisation démocratique est entièrement fondée sur l’exactitude de l’information. Si le citoyen n’est pas correctement informé, le vote ne veut rien dire.»
Oscar Wilde : «The public have an insatiable curiosity to know everything, except what is worth knowing.»
Geoffrey Ward : «Journalism is merely History’s first draft.»
Jef Mallett : «Writing well means never having to say ‘I guess you had to be there’.»
David Carr : «Being a good writer doesn’t make you a good reporter. It takes hustle.»