Novembre 2018, je dis au revoir à un pays qui m’inspire inconditionnellement.
La tête remplie d’émotions engendrées par un activisme passionnant et le souvenir vivace de mes compagnons résilients, je ne pense qu’à y retourner.
Mais le destin en décide autrement. En 2019, ce pays est en proie à des troubles socio-politiques internes qui me forcent à reporter ma prochaine expédition.
Aujourd’hui retourner là-bas paraît impensable. Car on compose avec un inconnu dangereux à long terme: le coronavirus qui tue. Le futur me semble plus nébuleux que jamais…
Le virus contamine notre planète en n’épargnant personne. Nous sommes tous affectés par la pandémie, de multiples et diverses façons, aux quatre points cardinaux.