Il y a des moments dans l’année où le vin cesse d’être un sujet de débat pour redevenir un geste, un clin d’œil, un prétexte à rapprocher les chaises.
Décembre appartient résolument à cette catégorie. On ne cherche plus la posture, mais la douceur. On oublie la technicité, on réclame la chaleur. On ne déguste pas, on partage. Et franchement, c’est exactement ce dont on a besoin.
Spritz St-Germain
Et cette année, c’est le Spritz St-Germain qui ouvre la danse. Un apéritif souvent associé à l’été, mais rien ne dit qu’il ne peut pas devenir la vedette en hiver. Voici donc ma version temps des fêtes:
Et voilà que votre Spritz St-Germain mêle l’élégance d’un parfum floral à l’audace d’un rayon de soleil égaré en décembre. Il détend les épaules, fait naître des sourires spontanés et déclenche ces confidences qu’on n’aurait jamais osé livrer en septembre. À lui seul, il donne l’impression que la soirée s’annonce belle.

Crémants
Ensuite viennent les bulles, les vraies, les discrètes, les bien élevées. Pas celles qui réclament qu’on se tienne droit et qu’on fasse semblant de reconnaître des arômes de souvenirs d’enfance.






