Québec est la ville canadienne que j’aime le plus, le Vieux-Québec en particulier. J’ai donc pris plaisir à parcourir Le Vieux-Québec en cartes postales anciennes, de Johanne Therrien et Martine Bordeleau. Les collectionneurs de cartes postales sont des cartophiles.
C’est en Autriche, vers 1869, que les cartes postales font leur apparition. Elles se répandent ensuite rapidement en Europe, puis en Amérique du Nord. Avant 1907, tout le verso était réservé à l’adresse et au timbre-poste. Par la suite, le dos fut divisé en deux sections (adresse à droite, message à gauche).
Cartes postales en noir et blanc
L’ouvrage comprend 120 cartes postales, toutes en noir et blanc, regroupées sous les rubriques suivantes: La Haute-Ville, La Basse-Ville, Les lieux de culte et d’éducation, Les scènes d’hiver et La vie commerciale.
Dans la Haute-Ville, le Château Frontenac occupe la part du lion en tant que «point de repère sans égal qui identifie Québec au premier coup d’œil». Il y a aussi les quatre portes, Saint-Louis et Saint-Jean étant plus connues que Kent et Prescott.
Dans la Basse-Ville, j’ai arpenté un endroit qui est bien photographié. Il s’agit de la rue du Petit-Champlain et de l’escalier casse-cou. On apprend que ce sont des visiteurs britanniques qui ont donné le nom Breakneck Steps.