Le gouvernement du Québec a profité de la Journée internationale de la francophonie (20 mars) pour dévoiler sa nouvelle politique en matière de francophonie canadienne.
La politique comporte un financement accru et plusieurs nouvelles initiatives, dont la proposition d’une «Journée de la francophonie canadienne».
Faux dilemme
«Nous, francophones, on ne doit plus avoir à choisir entre défendre le français au Québec et le défendre ailleurs au Canada.» C’est du moins ce que souhaite la ministre responsable des Relations canadiennes et de la Francophonie canadienne, Sonia LeBel.
Intitulée Pour une francophonie forte, unie et engagée, cette politique est l’aboutissement de plusieurs années de travail avec de nombreux partenaires selon la ministre.
«Ça traduit vraiment la volonté du gouvernement de faire rayonner notre langue dans toute la francophonie canadienne.»