Renouvellement du partenariat universitaire Ontario Rhône-Alpes

Universités Ontario Rhone-Alpes
Le consul de France, Tudor Alexis, au centre, avec les professeurs Jim Walker, de Lyon 2, et Lisa Philipps, de York.
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Publié 25/08/2022 par l-express.ca

Les universités de l’Ontario International (OUI), coordonnées par l’Université York, et les établissements postsecondaires de la région Auvergne Rhône-Alpes, menés par l’Université Lumière Lyon 2, ont renouvelé leur partenariat d’échanges d’étudiants pour trois ans.

30e anniversaire

Cette coopération Canada-France fonctionne depuis 30 ans. Elle implique une quinzaine d’institutions en Ontario et autant dans la région Auvergne Rhône-Alpes.

Le consul de France à Toronto, Tudor Alexis, a organisé la cérémonie de signature le 16 juin.

Les parties canadienne et française étaient représentées respectivement par la professeure Lisa Philipps, doyenne et vice-présidente académique de l’Université York, et le professeur Jim Walker, vice-président international de l’Université Lumière Lyon 2.

Universités Ontario Rhone-Alpes
Un bâtiment de l’Université Lumière Lyon 2.

Expansion du programme

Les échanges et les mobilités d’étudiants ont connu un grand succès au cours des 30 dernières années et se poursuivront. En outre, «des discussions sur des collaborations universitaires et de recherche plus larges ont été lancées», indique le professeur Walker.

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Il mentionne «des stages de recherche, des collaborations de projets et un apprentissage basé sur les problèmes qui impliqueront à la fois les facultés et les étudiants».

«Ce programme ORA (Ontario Rhône-Alpes) joue un rôle essentiel dans la mobilité étudiante entre la France et le Canada», fait valoir le consul. «C’est le plus gros consortium hors Québec d’échanges d’étudiants Canada-France.»

Découvrir le système français

Depuis sa création, plus de 3000 étudiants ontariens ont bénéficié de ce programme sous forme de bourses octroyées aux étudiants par le gouvernement de l’Ontario. Le ministère ontarien a d’ailleurs confirmé qu’il renouvelait ce financement.

M. Walker souligne que des étudiants de presque toutes les disciplines peuvent participer au programme d’échange. Il faut posséder un bon dossier académique, mais aussi vouloir découvrir le système universitaire d’un autre pays.

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Les étudiants canadiens intéressés peuvent contacter, dès la rentrée, les responsables des échanges internationaux de leur institution. Les candidatures sont déposées à l’automne et la sélection est effectuée en janvier en vue d’un déménagement en France en septembre.

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