La vie, sous toutes ses formes, a une nette préférence pour la symétrie. Les biologistes n’ont jamais eu d’explication pleinement satisfaisante à ce sujet et plusieurs hypothèses circulent.
Voilà que l’informatique en propose une nouvelle.
Comme n’importe quel programmeur l’apprend en effet, un algorithme qui produit des séquences répétitives a beaucoup moins de chances de se tromper.
De la même façon, les instructions qui existent au niveau biologique sont beaucoup plus faciles à encoder dans un gène si elles conduisent vers quelque chose de symétrique.
Évolution algorithmique
Une équipe de mathématiciens, bioinformaticiens, chimistes et physiciens de Norvège et de Grande-Bretagne, détaille cette hypothèse dans une édition récente des Proceedings of the National Academy of Sciences.