Le dernier lancement vers la Station spatiale internationale a causé au site russe des dommages plus graves que prévu. Cela pourraient aller jusqu’à remettre en question l’avenir de la Station spatiale.
À l’origine, l’agence spatiale russe Roscosmos s’était faite rassurante: les dommages allaient être rapidement réparés, avait-elle déclaré le 27 novembre.
C’était après le lancement réussi, à bord d’une fusée russe Soyouz, de trois astronautes, un Américain et deux Russes, qui doivent effectuer là-haut un séjour de huit mois. Ils y ont rejoint trois astronautes américains, un Japonais et trois Russes.
Mais il s’avère que les dommages au site de lancement sont tels que de le remettre en état pourrait prendre jusqu’à deux ans, a révélé le magazine Ars Technica.
Une «plateforme de services» qui permet aux employés d’accéder à une fusée avant son lancement, et qui pèse 20 tonnes métriques, semble s’être effondrée, causant des dégâts aux autres structures.




