La saison des terrasses est ouverte… et celle du rosé aussi.
Dès que le thermomètre flirte avec les 18 à 20 degrés, mon barbecue entre en mode service continu, et ma consommation de rosé grimpe en flèche, pour des raisons évidentes: c’est rose, c’est frais, et c’est tout simplement délicieux.
Mais soyons honnêtes: tous les rosés ne se valent pas. Oui, je sais, c’est affaire de goût. Certains les aiment sucrés et fruités. Je campe fermement dans le clan de la Provence: sec, vif, élégant.
Je tolère certes un brin de sucrosité… à condition qu’elle soit bien équilibrée. Mais trouver un rosé canadien qui coche toutes les cases? Mission souvent délicate. Trop de cuvées locales ont tendance, à mon goût, à verser dans le sucre.
Un rosé québécois!
Le mois dernier, lors d’un passage éclair à Québec, j’ai fait un détour par William J. Walter, ce temple de la saucisse qu’on surnomme affectueusement «le sushi du peuple». Un ami m’avait vivement recommandé leur saucisse suisse (divulgâcheur: testée et approuvée).