La population de la capitale d’Haïti, Port-au-Prince, vit au jour le jour dans un climat de violence constante perpétrée par les gangs de rue armés depuis plusieurs mois.
Même Médecins sans frontières a fermé son centre de soins d’urgence dans la zone de Martisant au sud, en raison de l’insécurité.
Le séisme du samedi 14 août, ressenti sur l’ensemble du territoire haïtien, a frappé très durement la péninsule Sud d’Haïti.
Pendant ce temps, les populations des montagnes vivant isolées dans le «pays en dehors» se débrouillent dans un environnement dominé par les monts, garants de leur survie.
La solidarité prime parmi les communautés paysannes, malgré l’incertitude résonnant partout au pays.