L’idée de réunir plus de 150 municipalités francophones et francophiles du Canada, des États-Unis et des Caraïbes était peut-être bonne, mais souffrait d’un manque de leadership.
Même si le Réseau des villes francophones et francophiles d’Amérique n’est plus, plusieurs municipalités membres ont la ferme intention de ne pas laisser mourir les liens qui ont été créés au cours des cinq années d’existence de ce projet un peu fou.
L’héritage français des Amériques
Le but était de faire connaitre le riche héritage français des Amériques en élaborant un immense circuit touristique avec comme point commun le patrimoine francophone.
«On était membre du Réseau et on avait grand espoir, parce que nous, on aimait l’aspect du réseautage et d’amener de l’attention à nos infrastructures touristiques francophones», souligne Bernadette Clément, mairesse de la ville de Cornwall, en Ontario.
Cornwall était l’une des plus de 150 municipalités membres provenant du Canada, des États-Unis, et — une poignée — des Caraïbes.