Depuis plus d’un mois, notre mode de vie habituel a basculé. Des millions parmi nous travaillent à domicile. Rencontres Zoom plusieurs fois par semaine, multitude de courriels, produire à fond de train, télétravail oblige… Puis, question de changer d’air, on sort un peu, en solo, pour échapper au bombardement de nouvelles sur la pandémie.
Le confinement pèse lourd… sans savoir vraiment pour encore combien de temps. Bien sûr, c’est déprimant. Mais je me dis qu’après tout, nos conditions de télétravailleurs sont plutôt décentes dans cette partie de monde.
On a l’essentiel
On a l’essentiel: logis, nourriture, eau potable, électricité, technologie, liquidités pour payer les factures… D’autant plus, si on ne fait pas partie de tous ceux qui œuvrent sans relâche jour et nuit sur le front… et si on se protège en observant strictement les règles de la distanciation physique.
Ce qui nous manque, c’est l’accès au surplus que nous avons pris pour acquis. Rassemblements entre amis, randonnées sportives en groupe, sorties culturelles, divertissements de masse, magasinage en boutique, voyages, etc…
Mais finalement, le plus difficile, c’est de ne pas pouvoir serrer nos proches dans nos bras: parents, enfants, petits-enfants, frères et sœurs, nos amis de longue date… «Le virus nous aura appris quelque chose d’essentiel», selon une amie.
Pensée positive
Outre préserver nos passions et maintenir le contact avec nos amitiés outrer-mer comme outils de résilience, je prétends continuer de partager à propos de la pensée positive en temps de crise, car elle est source d’énergie et de bonne santé.