Alors que sort au cinéma la nouvelle adaptation de Walt Disney de La petite sirène, je boude les salles obscures pour rejoindre la seule, la vraie, l’unique Ariel, celle qui fait la renommée de son berceau: Copenhague.
Je ne savais pas vraiment quoi attendre de cette ville que je rattachais principalement à l’écrivain Hans Christian Andersen qui y a écrit ses œuvres.
Aussi suis-je charmée à mon arrivée (sous un beau ciel bleu) par le vent de gaieté et d’insouciance qui souffle sur la capitale du Danemark.
Capitale décontractée
Est-ce dû au nombre impressionnant de cyclistes (j’apprendrai qu’ici il y a plus de vélos que d’habitants), à l’attitude décontractée des gens, aux musiciens qui jouent çà et là ou aux canaux qui coupent la ville et confèrent en cette période de jours sans fin une ambiance estivale débonnaire ?
Quoi qu’il en soit, je me laisse porter par cette bonne humeur contagieuse et laisse mes premiers pas me conduire jusqu’au quartier prisé et coloré de Nyhavn.