Comme toute grande métropole, Toronto abrite des rats dans ses entrailles. Toutefois, la population des rongeurs n’y cesse d’augmenter et devient de plus en plus visible. Le phénomène est tel qu’on parle d’invasion dans certains quartiers, ce qui a poussé des élus à demander un plan d’action d’urgence. Ça sera chose faite, mais dans un an.
Un vieil adage français dit: «Il est plus difficile de se débarrasser des rats que de les attirer.» Malheureusement, cette maxime populaire s’applique à merveille à Toronto en ce moment.
Et pour cause, selon de nombreux témoignages oculaires, plusieurs quartiers connaissent une véritable invasion de rats.
«Il y a des rats même dans les bâtiments de l’Hôtel de Ville. Il faut faire quelque chose avant que cela ne se transforme en crise de santé publique, sans parler de l’impact sur la santé mentale dont peuvent être victimes les citoyens confrontés à ce problème», déplore la conseillère municipale Alejandra Bravo.
Pas de données
Ce n’est pas la peine de tenter de quantifier le problème si ce n’est par l’observation à l’œil nu, car les données en sont tout simplement inexistantes.