La 16e édition de l’assemblée générale annuelle de l’Assemblée de la francophonie de l’Ontario (AFO) aura notamment été marquée par l’avenir du programme universitaire francophone au sein de l’Université de Sudbury. Une rencontre qui clôture une semaine d’activités placée sous le signe de la vitalité franco-ontarienne.
Pandémie oblige, le lobby politique des Franco-Ontariens a tenu son congrès annuel de manière virtuelle pour une deuxième année consécutive. Au cours de ce RAV 2021, du 25 au 30 octobre, des webinaires, des heures de réseautage et de nombreuses activités ont eu lieu.
Des rencontres notamment sur le sentiment d’appartenance, l’héritage culturel, l’inclusion ou encore le financement étaient au programme.
Alors qu’il entame sa dernière année de sa présidence, Carol Jolin a noté que l’AFO aura notamment à l’œil, au cours des prochains mois, les élections provinciales, les états généraux postsecondaires, l’Université de Sudbury, les soins de santé longue durée et la santé mentale, la nomination d’un prochain PDG à TFO et le rapprochement des francophones, notamment avec les Québécois.
L’AFO et les groupes «racialisés»: les points sur les i
De son côté, le directeur général de l’AFO, Peter Hominuk, a tenu à préciser que l’AFO continuerait d’être active en termes d’inclusion et pour lutter contre le racisme. La nomination d’un coordonnateur veillant à l’inclusion dans le cadre du programme AGIR (Accompagnement des groupes identitaires racialisés) va dans ce sens.