À la télé pour finir le mois de mai en beauté – et en émotions –, direction l’institut psychiatrique d’Empathie, avant de passer par les coulisses de l’école de danse des boys du ballet, pour ensuite s’envoler vers le Japon avec Hafu.
Empathie – Plongée au fond des émotions
Selon l’Office québécois de la langue française, l’empathie désigne la «capacité d’une personne à s’identifier à autrui et à éprouver à l’intérieur d’elle-même les émotions ou les sentiments ressentis par l’autre».
C’est exactement ce qui se passe à l’écoute d’Empathie, la nouvelle série écrite et portée par la comédienne Florence Longpré. Avec beauté, finesse et humanité, elle nous plonge dans le monde souvent mal connu – et mal perçu – de la psychiatrie, loin des camisoles blanches et des asiles fantasmés à la Arkham.

Dès les premières minutes, on embarque. Suzanne (Florence Longpré), en lendemain de veille, poutine oubliée au pied du lit, découvre qu’elle a couché pour la première fois avec un homme.
Entre galères diverses et mésaventures menstruelles, elle s’apprête à commencer un nouvel emploi de psychiatre dans un hôpital pénitentiaire, avec des patients jugés dangereux pour eux-mêmes ou pour autrui.