Les «cyber-escrocs» auront l’embarras du choix en 2012
à 12h32 HNE, le 19 décembre 2011. MONTRÉAL – Année après année, les cybercriminels trouvent de nouvelles astuces pour s’emparer d’informations provenant d’ordinateurs portables ou de téléphones cellulaires, dans le but de s’enrichir. Ils ont certes encore recours aux traditionnelles escroqueries par courriels, mais des experts en sécurité prédisent que 2012 sera une année faste pour les «cyber-escrocs» à cause de la multiplication des plateformes. «Les nouvelles cibles seront les appareils mobiles, en raison de leur prolifération», a prédit Lynn Hargrove, de la firme Symantec, une entreprise de logiciels de protection des appareils informatiques. «Plus de gens préféreront un téléphone […]
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Témoignage contesté d’un des fils Shafia
à 17h34 HNE, le 14 décembre 2011. KINGSTON, Ont. – Après un long et pénible contre-interrogatoire au cours duquel il a été accusé de conspirer avec sa famille pour inventer des alibis, un fils de Mohammad Shafia qui ne fait pas face à la justice a demandé mercredi la permission au tribunal d’embrasser ses parents, accusés de quatre meurtres prémédités. Un fils de la famille Shafia s’est porté cette semaine à la défense de ses proches, avant de se soumettre à plus d’une journée de contre-interrogatoire par la Couronne. Le procureur Gerard Laarhuis a suggéré que le fils avait menti […]
Shafia dit que ses filles étaient déshonorantes
à 18h05 HNE, le 9 décembre 2011. KINGSTON, Ont. – Mohammad Shafia, accusé des meurtres de ses trois filles et de sa première épouse, a expliqué en long et en large ce que le concept d’honneur signifiait pour lui, ajoutant qu’il croyait effectivement que ses filles s’étaient déshonorées en entretenant des relations amoureuses avec des garçons. Mais il a nié avec vigueur avoir voulu régler le problème lui-même en les assassinant. «Je ne suis pas un tueur», a-t-il affirmé vendredi d’une voix forte, à son deuxième jour de témoignage, lors de son contre-interrogatoire. Répondant à la procureure de la Couronne […]
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Procès Shafia: Sahar ne voulait pas que ses parents apprennent son idylle
à 15h51 HNE, le 30 novembre 2011. KINGSTON, Ont. – La jeune Sahar Shafia, âgée de 17 ans à sa mort, était convaincue que ses parents la tueraient si jamais ils apprenaient sa liaison amoureuse avec un garçon, selon une femme à qui elle s’était confiée. Mais l’adolescente a tout de même pris ce risque à cause de la profondeur de ses sentiments pour son ami Ricardo, a témoigné mercredi la tante du garçon. Erma Diaz Medina dit avoir reçu les confidences de l’adolescente deux mois à peine avant sa mort tragique. «Elle m’a dit qu’elle serait une ‘femme morte’ […]