Un dicton brésilien affirme que Dieu, au septième jour de la Création, donna le jour à Rio de Janeiro, question de se reposer un peu et de se divertir. Encore aujourd’hui, cette ville, fondée en 1502 par le navigateur portugais Gaspar de Lemos, évoque le plaisir et la douceur de vivre.
Ses habitants, les «Cariocas», sont réputés pour être des gens hospitaliers. À ce titre, un magazine de voyage international mentionnait, récemment, que «Rio est la ville la plus amicale au monde». Il y a beaucoup à voir et à faire dans la «cité merveilleuse», et bien qu’elle aie une réputation de joyeuse anarchie, voire de violence, quelques précautions élémentaires feront d’un séjour dans la ville de la samba et du Carnaval une expérience mémorable.
Plage, plage, plage
Le «must» à Rio, c’est bien entendu ses plages magnifiques. C’est le passe-temps favori du «Carioca» et l’on s’y rend en famille ou entre amis afin de pratiquer une foule de sports, du volley-ball en passant par le soccer, le surf et… la baignade!
C’est le rendez-vous de toutes les classes de la société, de l’habitant de la «favela» (bidonville) jusqu’au riche homme d’affaires. On y discute debout – machisme oblige –, en sirotant une «caipirihna» (cocktail national à base d’alcool de canne à sucre, de jus de citron, de cubes de glace et de sucre), une bière bien fraîche ou tout simplement une limonade.
Divers aliments y sont aussi offerts par des vendeurs ambulants, que ce soit des crevettes grillées, des sandwiches, des arachides, etc.