L’hypnotisante Lou Doillon, fille de l’iconique Jane Birkin et du réalisateur français Jacques Doillon, demi-sœur de Charlotte Gainsbourg et j’en passe, était de passage au Lee’s Palace à Toronto, dimanche dernier, pour promouvoir son premier album, Places, en anglais, réalisé par Étienne Daho.
À la fois mannequin, actrice et chanteuse, cette jeune femme de 31 ans, mal-aimé par les médias français, fait un début remarqué dans l’univers musical. Malgré son horaire chargé, elle a pris le temps de nous rencontrer et de partager ses insécurités et la confiance qu’elle a retrouvée grâce à la musique.
L’Express : Qui a influencé le plus ta carrière musicale ?
Je suis née avec un énorme intérêt pour la musique. Ça doit me venir de mon père étrangement. Pas du tout de la cellule maternelle parce que c’était tellement chargé d’histoire et de rapport personnels que ce n’était pas de la musique pour moi, alors c’est avec mon père (Jacques Doillon) que j’ai surtout découvert la musique.
Quand j’étais petite, on faisait des heures et des heures de voiture et on écoutait de nombreux albums; Leonard Cohen, Nina Simone, Nirvana, Screamin’ Jay Hawkins.