Le cardinal argentin Jorge Bergoglio succède à Benoît XVI et prend le nom de François (pas François 1er).
Bien qu’il n’ait jamais travaillé dans la curie romaine, il sait sans doute que mieux vaut, pour intégrer le Vatican, adhérer au «code du placard», qui consiste à tolérer l’homosexualité des prêtres, des évêques et des cardinaux, et la conserver secrète dans tous les cas.
Majorité
François découvre rapidement que l’omniprésence des homosexuels au Vatican n’est pas de l’ordre de la «brebis galeuse» ou du «mouton noir», qu’il ne s’agit pas d’un «lobby gai», d’une secte ou d’une franc-maçonnerie à l’intérieur du Saint-Siège: «c’est un système, pas une petite minorité, une grande majorité».
Lorsque l’auteur Frédéric Martel avance le nom de tel cardinal ou archevêque, un de ses plus proches informateurs agite les mains et lance: Gayissimo! «François est bien parmi les Folles!»
Lors de son élection, «les homophiles ajoutés aux homosexuels constituent ensemble la grande majorité du collège cardinalice».