La francophonie canadienne a eu une présence discrète lors des auditions publiques sur le projet de loi 96, Loi sur la langue officielle et commune du Québec, le français – la réforme de la Loi 101 – en commission parlementaire québécoise ce mois-ci.
Malgré certaines inquiétudes, le projet est somme toute bien accueilli dans les communautés francophones en situation minoritaire. Quelques modifications ont tout de même été proposées.
Deux intervenants de la francophonie canadienne
Le seul intervenant francophone de l’extérieur du Québec ayant comparu a été la Fédération des communautés francophones et acadienne (FCFA) du Canada.
La FCFA s’est présentée devant la Commission de la culture et de l’éducation lors de la dernière des neuf journées d’audiences publiques qui se sont déroulées sur trois semaines. L’organisme a également rédigé un mémoire.
De son côté, la Société de l’Acadie du Nouveau-Brunswick (SANB) a présenté un mémoire écrit à la Commission, mais elle n’a pas comparu.