Au mois de mars, je vous ai parlé de l’écrivain Britannique Tony Parsons et de son roman Des garçons bien élevés, qui met en scène l’inspecteur Max Wolfe. On retrouve maintenant ce dernier dans Les anges sans visage, une histoire qui commence par un cri de douleur, un cri de terreur, un cri de fureur.
Le lendemain du Jour de l’An, la famille Wood est retrouvée massacrée dans un quartier très chic de Londres. On retrouve les corps du père, de la mère et de deux adolescents, mais le plus jeune enfant manque à l’appel. A-t-il été enlevé?
Tout cela s’est passé près du cimetière de Highgate où on ne voit rien d’autre que les anges de pierre sans visage. L’assassin s’est servi d’un pistolet d’abattage pour massacrer une famille, ce qui «traduit la volonté de nier l’humanité des victimes».
Les statistiques démontrent que si on ne retrouve pas un enfant disparu au bout d’une semaine, on risque de découvrir un jour son corps au fond du fleuve ou dans une benne à ordures. L’inspecteur Max Wolfe met donc les bouchées doubles pour trouver et l’assassin et l’enfant disparu.
Wolfe ne tarde pas à apprendre que le bonheur d’une famille peut rendre certaines personnes folles de rage, car il y a du monde qui haït les gens heureux. «Les Wood ont été assassinés parce qu’ils étaient heureux.»