Après avoir fait paraître un recueil de poésie-théâtre en 2021, Pierre-Luc Gagné publie un premier roman d’à peine 100 pages: Le jardin de la morte.
La personne décédée est grand-mère Jeannine, et le narrateur est son petit-fils de 7 ans qui rêve déjà de devenir vieux.
Gagné écrit que l’amour nécessite une sérénité, une distance, voire un abandon. Il ajoute que sa mamie n’était pas «suffisamment égoïste pour m’emmener avec toi».
Il lui écrit donc une sorte de longue lettre, une ode, une fantaisie, une autofiction.
Merci aux artistes
Dans les remerciements à la fin du roman, l’auteur souligne que la vie, la mémoire, a le pouvoir «de mélanger mélancolie et amour et de les rendre dépendants l’un de l’autre».