Personne ne pourra m’arrêter. C’est le titre d’une chanson pas comme les autres qui est devenue symbole depuis la triste fin d’automne 2018 assénée aux Franco-Ontariens par Doug Ford.
Mélissa Ouimet, de Saint-Albert, dans l’Est ontarien, l’a composée en 2016. Elle l’a sortie de ses tiroirs pour la lancer sur le web et en faire un serment de résistance.
C’est Damien Robitaille qui ouvre la vidéo: «On me dira non, ce sera comme hier et demain peut-être.» Puis Céleste Lévis enchaîne: «Toujours des raisons et des commentaires sur ce que je devrais être.»
Et voilà que l’on sort de l’Ontario pour entendre Andréanne Malette de Granby: « Je me fous des barrières, je vais gagner à ma manière.»
Puis retour chez les Franco-Ontariens avec Breen Lebœuf, ancien compère de Gerry Boulet à l’époque d’Offenbach. «J’allumerai en moi ce qui survivra au-delà des combats.»