Le soir du 24 décembre, il n’y a pas que les yeux des enfants qui scruteront le ciel dans l’espoir d’apercevoir le point rouge d’un des rennes tirant le traîneau du père Noël. L’équipe de NORAD gardera aussi un œil sur le père Noël.
Depuis 67 ans, le Commandement de la défense aérospatiale de l’Amérique du Nord, mieux connu sous l’acronyme NORAD, est sur la piste du père Noël afin de nourrir le rêve et l’imaginaire des enfants.
Cette année encore, le NORAD affecte plusieurs membres de ses effectifs canadiens et américains à cette mission toute spéciale. L’opération s’est mise en branle le 1er décembre et culminera à la veille de Noël.
Le capitaine Maxime Cliche, officier des affaires publiques pour la région canadienne du NORAD et responsable des relations avec les médias, livre à Francopresse les dessous de cette opération baptisée «Sur la piste du père Noël».
Comment toute cette aventure a-t-elle commencé pour le NORAD?
Ça a commencé en 1955. À l’époque, la chaîne de grands magasins Sears a fait paraître une annonce avec un numéro de téléphone pour appeler le père Noël.