J’adore jouer et expérimenter avec le vin. À quelques reprises, lors de dégustations, j’ai étonné plus d’un goûteur, et ce, sans malice aucune. Juste pour s’amuser un peu tout en apprenant encore plus
Comme ce jeudi soir en 2006, alors que les vins italiens étaient en vedette. Neuf verres disposés devant chaque participant. Personne ne se doute que les verres sept et huit sont le même vin: Fonterutoli Mazzei Chianti Classico Riserva 1999.
Exception faite du vin numéro huit qui avait été décanté le dimanche soir précédent et conservé dans une carafe que j’avais soigneusement agitée matin et soir (faut bien les briser ces molécules de tanins!), toutes les bouteilles ont été ouvertes avant la dégustation.
J’entends encore le tumulte causé par l’incrédulité des participants lorsque j’ai annoncé l’identité des vins. Je démontrais le type de tanin qui permet à un vin de tenir la route favorablement.
Encore le tanin
Une autre fois, j’enseignais au niveau Diploma du programme WSET un jeudi de mars 2008: encore l’Italie, mais cette fois les vignobles septentrionaux. Même scénario donc, cette fois avec le piémontais Poderi Colla Barbaresco Roncaglie 2003.