J’avais pourtant un billet de train pour faire Bratislava-Vienne, mais on m’a vite expliqué que c’était une très mauvaise idée quand l’autre solution revenait à remonter le Danube à toute allure et d’entrer dans Vienne à hauteur de navette fluviale. J’ai donc choisi cette option, sans aucun regret.
Maintenant que dire de Vienne? Pour plaisanter, j’avais écrit sur Facebook qu’il n’y avait pas grand-chose à faire. Parfois on me prend au premier degré… Palais impériaux, cathédrales immenses, complexes muséaux d’envergure, théâtres et encore d’autres palais.
Ville moderne et ancienne à la fois, les transports en commun sont faciles à utiliser. Métro, tramway, on peut se rendre très un peu partout à Vienne sans inquiétude.
J’ai profité de mes contacts associatifs pour rencontrer un collègue à Vienne. J’ai pu profiter de sa grande connaissance de la ville pour y découvrir ce que les touristes ne verront pas. Architecture, histoire, culture et patrimoine, tout y est passé!
La vaisselle de Sissi
N’ayant que peu de temps, j’ai limité mes explorations muséographiques à l’histoire juive de cette ville (deux musées), un musée unique en son genre consacré aux globes terrestres, et le palais Schönbrunn mieux connu sous le nom du musée de l’impératrice Sissi ou Élisabeth en Bavière.