9 contre 43. C’est l’écart entre le nombre d’établissements postsecondaires francophones et anglophones en Ontario. Comment peser face à ces concurrents? Quelle est la valeur d’un diplôme francophone? Comment peser lourd quand les financements sont limités et les étudiants rares?
Cinq panélistes ont tenté d’y répondre lors de la conférence Université 2030, organisée par le Club Canadien de Toronto. Une centaine de personnes se sont réunies le jeudi 11 décembre, au campus Glendon de l’Université York, pour assister à la discussion, suivie d’un cocktail.
Dans une ambiance chaleureuse, entre petits fours et champagne, les participants ont pu échanger sur l’avenir de l’enseignement supérieur francophone.

Les panélistes
Marie-Ève Sylvestre, rectrice de l’Université d’Ottawa.
Normand Labrie, recteur de l’Université de l’Ontario français.








