L’hiver s’en vient à grands pas et les gens commencent à s’y préparer. On fait le plein de vitamine D à cause du manque de soleil, de vitamine C et du zinc pour renforcer le système immunitaire. Et peut-être qu’on regarnit la pharmacie d’échinacée et d’autres suppléments susceptibles de nous aider à passer à travers la saison froide.
Pourtant, il y a un petit minéral dont on ne pense pas souvent, mais qui joue un rôle important dans le corps humain, et ce, pendant toute l’année: le cuivre. Un manque chronique de cet oligo-élément peut entraîner des conséquences négatives autant chez les jeunes que chez les adultes.
Le rôle du cuivre dans le corps humain
Le cuivre est un oligo-élément essentiel, à l’égal du bore, du fer, du manganèse, du molybdène et du zinc. Présent dans le corps humain en très faible quantité, à raison de 50 mg à 120 mg chez un adulte, le cuivre se trouve en grandes concentrations dans le foie, le cerveau, le cœur et les reins, alors que la majorité est emmagasinée dans les os et les muscles.
Il est important de savoir que le cuivre n’est pas fabriqué par le corps et, par conséquent, il doit être pris sous forme d’aliment ou de supplément.
Ce minéral est essentiel à l’action de nombreuses enzymes intervenant dans le métabolisme de plusieurs nutriments, comme les glucides (sucres), les lipides (graisses) et le fer, qui affectent notre niveau d’énergie.



