Dans le monde des affaires francophones en Ontario, les petits entrepreneurs se retrouvent confrontées au dilemme classique de la poule et de l’œuf: elles doivent choisir entre recruter du personnel pour développer de nouveaux partenariats ou investir dans l’expansion de leurs partenariats avant de recruter.
Ce dilemme est exacerbé par le coût élevé du recrutement. En effet, engager de nouveaux employés représente souvent une dépense conséquente en termes de salaires, de formations et de frais de supervision.
«Cela peut mettre une pression financière sur les entreprises, limitant ainsi leurs capacités à investir dans d’autres domaines essentiels tels que le développement de partenariats ou l’innovation», explique Sarah Bouchkhi, consultante en formation numérique et fondatrice de Procoms.
«D’un autre côté, retarder le recrutement peut également entraîner des répercussions négatives, notamment en limitant sa capacité à répondre à la demande croissante du marché.»
La SÉO célèbre les lauréats avec Desjardins
La Société économique de l’Ontario (SÉO) a organisé la cérémonie de remise des bourses de mérite Desjardins le mercredi 22 mai dans ses locaux de Toronto, au 275 rue Richmond.