L’été 2019 s’annonce chaud à Montréal. Une enquête du service de police et une série de morts ont des parallèles avec le vol d’une lithographie de Picasso. Voilà le merdier dans lequel Vic Verdier nous plonge avec Faces de boeufs.
Vic Verdier est le pseudonyme de Simon-Pierre Pouliot. C’est aussi le nom du principal sergent-détective de ce polar. Lui et Jesssy Di Filipo, sa partenaire de patrouille, envisagent de fonder une famille.
Vic enquête sur des tableaux volés; Jessy est agente de liaison auprès d’une compagnie qui pilote un projet visant à équiper tous les policiers de Montréal d’une caméra corporelle.
Leurs parcours se croiseront… comme les animaux sur la ferme. En France, un policier est un poulet, ici, c’est un bœuf. À chacun son patrimoine agricole.
Franglais
Le style de l’auteur est très coloré: «excité comme un p’tit gars lâché lousse à La Ronde…, son bras broyé ressemblait à du pâté chinois avec du ketchup…, une face qui a l’air d’une compote à la rhubarbe».