Le Comité permanent des langues officielles a un nouveau président. Le député acadien de Madawaska-Restigouche au Nouveau-Brunswick, René Arseneault, y a été élu à la mi-décembre. En entrevue avec Francopresse, il discute de sa vision des langues officielles, de ses nouvelles fonctions et de celles du comité.
Comment entrevoyez-vous ce nouveau rôle de président du Comité permanent des langues officielles?
C’est moi qui cumule le plus d’années d’expérience au comité: six ans. Humblement, je suis fier d’avoir été proposé comme président.
Ça change un peu pour moi, dans ma façon de travailler au sein du comité. Quand on n’est pas président, on est dans l’action, on peut poser des questions, on peut aller chercher les réponses. Quand on est président, notre rôle est de prendre un peu de recul et de laisser les membres faire ce travail.
Ce sera une adaptation, mais ça va bien aller, sachant que les membres de ce comité, tous partis confondus, sont d’une qualité extraordinaire.
Comment le Comité pourra-t-il en profiter?
Par exemple, la plus jeune recrue, Arielle Kayabaga qui vient des nouvelles bulles de création de francophonies au Canada.