Mon père me racontait que, dans sa vingtaine (les années 1950), un collègue de travail et lui passaient parfois pour des hurluberlus à discuter des mystères du cosmos et des OVNIs (populaires après l’incident de Roswell), ainsi que de l’influence de civilisations inconnues sur la construction des pyramides et sur le cours de l’Histoire avec un grand H.
Ces théories ou fantaisies, popularisées notamment par Erich von Däniken en 1968 et par Zecharia Sitchin en 1976, circulaient déjà depuis le 19e siècle de Jules Verne et H.G. Wells. La science-fiction s’en inspire encore.
Plus tard, le SETI a officialisé la recherche de signaux extraterrestres, et on a lancé les sondes Voyager et Pioneer contenant des instructions pour communiquer avec nous.
Jusqu’à maintenant, en braquant nos télescopes vers d’autres systèmes solaires, on détecte des planètes qui paraissent bien situées pour accueillir la vie telle qu’on la conçoit (pas trop chaudes, pas trop froides, pas trop massives). Mais on n’a pas encore de preuves de vie, même microbienne, encore moins intelligente.