Le Collège Boréal est bien plus qu’une institution post-secondaire, près du quart de ses étudiants possédant déjà un diplôme universitaire et venant y trouver une formation pratique auprès d’enseignants souvent associés de près à leurs futurs employeurs.
Basée à Sudbury mais déployée dans plusieurs campus et centres d’accès à travers la province – dont au 3e étage du 1 rue Yonge et bientôt dans un nouvel édifice du quartier de la Distillerie – l’institution a tellement confiance en son produit qu’elle offre une «garantie Boréal»: les frais de scolarité remboursés à tout diplômé qui ne trouve pas d’emploi dans son domaine en moins d’un an!
C’est le tableau dynamique et optimiste qu’est venu brosser son président depuis octobre 2016, Daniel Giroux, à la tribune du Club canadien de Toronto mardi midi à l’hôtel Royal York.
Ententes d’articulation
M. Giroux, un natif de Sudbury, passionné de pêche et de hockey (un de ses fils est repêché par le Wild du Minnesota dans la LNH), a dirigé le fabricant de technologie minière Timberock avant d’entrer au Collège Boréal comme chef de la comptabilité, puis de l’école des technologies, puis vice-président à l’enseignement.
En plus de ses programmes de cours traditionnels, de formation «sur mesure» et d’éducation permanente, le Collège Boréal offre également des services d’emplois (mettant à profit son réseau d’employeurs) et des services d’immigration (une source de croissance de ses effectifs, notamment à Toronto).