Radio-Canada rapportait récemment qu’une prof de King’s University College, à London, Ontario, a créé un cours sur le «deuil climatique» et l’«éco-anxiété» qui affecteraient beaucoup de jeunes de nos jours.
Sur la base de divers sondages, des collèges de médecins, des ministères de la Santé et des agences des Nations-Unies estiment qu’une majorité d’adolescents et de jeunes adultes en souffrent. J’en doute; je connais beaucoup plus de vieux pessimistes; mais admettons…
Les jeunes seraient découragés et parfois terrifiés par l’avenir dystopique que leur annoncent certains militants, journalistes et politiciens populaires dans leurs réseaux. Des adultes plus âgés croient aussi à ces balivernes, mais ils n’imaginent pas vraiment qu’ils assisteront de leur vivant à «l’effondrement».
La Presse mentionnait aussi les travaux d’une prof de psychologie de l’Université Bishop’s, à Montréal, sur les sentiments des enfants face aux questions «existentielles», dont, selon elle, les changements climatiques.
Et dans le magazine L’Actualité, une pédopsychiatre estimait que l’éco-anxiété serait une réponse «saine» face à la «crise climatique», puisque cette dernière serait bien réelle. Dixit Greta: «I want you to panic!»






