Cette semaine sur la Colline parlementaire à Ottawa, un premier «prisonnier d’opinion» au Canada selon Amnistie internationale, deux élections partielles, de la discrimination au sein du Bureau du Conseil privé, des prêts hypothécaires sur 30 ans, et une étude sur le transport aérien.
Selon Amnistie internationale
L’organisme Amnistie internationale a déclaré que le chef héréditaire Wet’suwet’en Dsta’hyl était le premier «prisonnier d’opinion» au Canada.
Ce dernier a été visé en 2020 par une injonction de la Cour suprême de la Colombie-Britannique qui lui interdisait, lui et d’autres militants, de bloquer la construction du gazoduc Coastal GasLink (CGL) qui traverse leur territoire ancestral et pour lequel les chefs héréditaires Wet’suwet’en disent ne pas avoir donné leur accord.
«[Ces] actions [de défense], sont pacifiques et protégées en vertu des droits humains à la liberté d’expression et de réunion pacifique», affirme l’organisation dans un communiqué.
Plus tôt ce mois-ci, le chef Dsta’hyl a été condamné à 60 jours d’assignation à résidence pour ne pas avoir respecté l’ordonnance du tribunal.