Une fille canadienne sur quatre (âgée de 6 à 18 ans), qui pratiquait un sport au moins une fois par semaine avant l’apparition de la CoViD-19, ne s’est pas engagée à recommencer une fois les restrictions sanitaires levées.
Si cela se réalise, cela équivaut à plus de 350 000 filles canadiennes qui ne retourneront pas au sport.
C’est la principale conclusion d’une récente étude de l’organisme national Femmes et sport au Canada sur l’impact de la pandémie sur la participation des filles au sport.
Les filles peuvent revenir au sport
Plus de 5 000 familles canadiennes ont été interrogées dans le cadre de cette étude. Comme on pouvait s’y attendre, l’engagement à reprendre le sport est nettement plus faible chez les filles qui pratiquaient peu le sport que chez celles qui le pratiquaient fréquemment.
Mais elles pourraient changer d’avis, à mesure que le sport reprend ses droits dans la vie des gens et dans l’espace public. La diffusion des Jeux olympiques de Tokyo devrait en inspirer plusieurs.