Le premier roman de J.L. Blanchard est un polar intitulé Le silence des pélicans. Il met en scène un jeune enquêteur brillant, mais irrévérencieux, qui seconde un lieutenant-inspecteur médiocre dont on cherche désespérément à se débarrasser.
Insensible aux griefs
Ce lieutenant-enquêteur se nomme Bonneau. La directrice des ressources humaines le qualifie de franchement incompétent. Elle ajoute qu’il emmerde la direction, ses collègues et son syndicat.
Il s’avère « imperméable à toute forme d’intimidation psychologique »
Elle précise que Bonneau est insensible aux insultes, aux sarcasmes. « Et même les griefs administratifs sont perçus par lui comme une preuve de sa compétence et de la grandeur de sa vocation ».
Quant à son assistant Lamouche, il est décrit comme « un casse-pied de haute voltige ».