Le saviez-vous? La date du 23 avril aurait été choisie par l’UNESCO comme Journée mondiale du livre et du droit d’auteur, car elle correspondrait aux décès des auteurs Miguel de Cervantès, William Shakespeare et Garcilaso de la Vega en 1616.
Une information à prendre avec des pincettes tout de même, selon Paul-François Sylvestre, qui a animé une partie de la soirée à l’Alliance française de Toronto organisée par Gabriel Osson, président de l’Association des auteures et auteurs de l’Ontario français, en partenariat avec la librairie mosaïque et le Salon du livre de Toronto.
«Le livre a été l’instrument le plus puissant de diffusion de la connaissance et le moyen le plus efficace pour en assurer la préservation», a tenu à rappeler Paul-François Sylvestre.
Mais l’écrivain et chroniqueur a néanmoins centré son propos sur la question du droit d’auteur, une notion à «démystifier».
Un pourcentage négociable
Les revenus de la vente d’un livre se partagent entre différents acteurs, et l’auteur ne reçoit que 10% des bénéfices. Néanmoins, ce pourcentage peut se négocier en fonction du nombre des exemplaires écoulés ou encore selon la renommée de l’auteur.