Yves Saint-Laurent est un grand couturier et la France en est fière. Ces collections de haute couture font partie de l’histoire du XXe siècle et son nom rime avec élégance, luxe, créativité, sensibilité, amour de la beauté, des voyages et des femmes.
Il a laissé à sa mort en 2008 un héritage majeur pour la mode ainsi que de nombreux classiques de la garde-robe féminine. Les éditeurs, les musées et le cinéma ne cessent de lui rendre hommage.
L’homme fascine, sa vie aussi… si bien qu’en France en 2013 étaient mis en chantier deux biopics: l’un signé par Bertrand Bonello, qui sortira en France en septembre prochain, avec Gaspard Ulliel dans le rôle-titre, et le YSL de Jalil Lespert, le 2e long métrage de ce jeune réalisateur-scénariste, qui a librement adapté la biographie de Laurence Bénaïm, Yves Saint-Laurent (Grasset).
Il semble que les deux productions se soient fait la guerre pendant plusieurs mois, tentant de savoir qui pourrait éventuellement empêcher l’autre de continuer, mais les deux films ont maintenu le cap jusqu’au bout.