En informatique, trois facteurs irritent particulièrement les administrateurs financiers et décisionnels d’organisations de toutes tailles.
- Prévision difficile des investissements.
Les investissements en ressources humaines et en serveurs (CPU, mémoire et disque) sont imprévisibles puisqu’ils surviennent fréquemment à la suite d’une nouvelle application ou d’une mise à jour. En réalité, il n’y a bien peu à faire puisque le besoin est urgent et nécessaire. - Stabilité, disponibilité et performance des applications.
Chaque minute perdue, quand les employés ou pire, quand les clients attendent devant un écran qui ne répond pas coûte très cher à une entreprise. - Main-d’œuvre qualifiée et disponible.
La disponibilité d’une main-d’œuvre spécialisée est très limitée et coûteuse. De plus, le maintien de la connaissance technologique dans une organisation est souvent ardu.
L’avènement de la virtualisation en informatique a permis trois grandes avancées et a mené les organisations à tirer avantage de bénéfices indéniables : redondance inhérente, mobilité, flexibilité pour croître ou consolider rapidement, sécurité accrue, et bien d’autres.
Virtualiser un environnement
La première vague du cloud: déménager le stockage et les serveurs physiques vers un environnement cloud virtualisé. L’équipe IT est nécessaire pour gérer les bases de données, la sécurité, les applications, etc.
Le premier objectif de l’infonuagique consistait à virtualiser un environnement sur une plateforme disponible par le réseau privé ou internet.
Ce changement a permis aux organisations de TI (technologie de l’information) de distribuer leurs services de façon plus efficace et de limiter les besoins en espaces physiques pour les disques et processeurs. Si les améliorations furent indéniables au niveau de la stabilité et de l’accessibilité, la réalité du support technologique et les investissements imprévisibles ne changeaient pas.