Si vous êtes des fans de Christine Brouillet, vous connaissez sans doute Louise Desbiens, l’héroïne meurtrière de Chère voisine. La serial killer reprend du service dans Louise est de retour.
Elle habite maintenant à Montréal, elle a toujours ses deux chats Melchior et Freya, elle est toujours aussi habile à faire «disparaître» quiconque entrave indûment ses plans.
Louise coule des jours heureux avec ses chats, mais l’annonce de la vente de l’immeuble où elle demeure vient briser cette belle sérénité. Pas question de quitter son nid douillet! Le propriétaire est victime d’une première «disparition», mais ce geste ne permet à Louise que de gagner quelques semaines!
Notre tueuse en série a besoin d’argent. Devra-t-elle «aller dans les tournois de golf ou les soupers caritatifs à deux mille dollars le couvert dans l’espoir de rencontrer un autre poisson?» Que dire d’un vol de banque? Non, «s’attaquer à une institution est plus complexe que de se débarrasser d’un être humain.»
Qu’à cela ne tienne, séduction, mensonge et trahison vont permettre à Louise de se rapprocher petit à petit de son objectif. Est-ce dire que d’autres têtes vont tomber? À vous de le découvrir!
On mange bien dans les romans de Christine Brouillet: escargots à la sauge en cassolette, pince de homard en crumble vanillé, pastilla d’écrevisses, côte de veau et sa duxelles de champignons, glace au calvados. Qui dit bonne table dit bon vin: Chambolle-Musigny, Puligny-Montrachet, Pomerol 1996, Dom Ruinart ou magnum d’Alexandra, cette tête de cuvée de Laurent-Perrier.