Entre partenariats et compétition: réactions bienveillantes sur l’UOF
La ratification de l’entente de financement de l’Université de l’Ontario français (UOF), le 22 janvier dernier, conclut un chapitre d’une saga de plusieurs années. Selon les représentants d’autres institutions postsecondaires francophones ou bilingues de l’Ontario, c’est la promesse d’enfin rattraper le retard accumulé sur le système d’éducation provincial anglophone. Hearst Du nord au sud de la province, les réactions sont surtout positives. «C’est une bonne nouvelle, on considère l’Université de l’Ontario français d’abord comme un partenaire», de dire le recteur de l’Université de Hearst, Luc Bussières. «Et dans tous les cas, c’est une augmentation de l’offre de services dans une […]
Université de Hearst: pas d’inquiétude… pour l’instant
Le 6 décembre, l’Université de Hearst apprenait que la pérennité de l’établissement avait fait l’objet d’une rencontre ministérielle le 31 aout dernier. Dans un communiqué, le recteur Luc Bussières indique n’en être aucunement étonné, bien qu’il n’avait pas été tenu au courant de cette rencontre. Après tout, le gouvernement de Doug Ford ne s’est pas caché quant à ses intentions de revisiter les finances publiques. Par conséquent, «l’ensemble des établissements postsecondaires francophones et anglophones est soumis à cet exercice, tout comme d’autres services financés par la province.» «Malgré des inquiétudes légitimes dans le contexte de la crise actuelle dans la francophonie […]