Santé mentale des élèves: des éducatrices allemandes en visite au Csc MonAvenir

MonAvenir, santé mentale
Des Allemandes et des Ontariennes à l'école élémentaire catholique Sacré-Coeur à Toronto. Au centre: Suze Kisimba, leader en santé mentale du Csc MonAvenir. Photo: courtoisie
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Publié 01/05/2025 par l-express.ca

Le Conseil scolaire catholique MonAvenir, qui gère 61 écoles de langue française à Toronto et dans la péninsule ontarienne, a accueilli la semaine dernière une délégation de diverses écoles et institutions de Munich, en Allemagne.

Coordonné par le ministère de l’Éducation, ce voyage d’étude visait à découvrir les approches innovantes et les stratégies mises en oeuvre en Ontario pour soutenir la santé mentale des élèves.

Les Allemandes sont notamment passées par l’école élémentaire catholique du Sacré-Coeur à Toronto. La délégation était 100% féminine, comme le groupe du Csc MonAvenir qui l’a accueillie.

Reconnaissance internationale

«Nous sommes honorés et fiers que notre expertise ait retenu l’attention d’éducateurs européens venus s’en inspirer», a commenté Nicole Mollot, directrice de l’éducation.

«Cette reconnaissance internationale met en lumière la qualité de nos pratiques et l’engagement profond de notre personnel à offrir une éducation centrée sur le bien-être de chaque élève.»

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Suze Kisimba, leader en santé mentale du Csc MonAvenir, est intervenue en tant qu’experte. «De la petite enfance à la 12e année», a-t-elle expliqué, «l’éducation est enrichie par des expériences valorisantes qui développent l’identité francophone et plurielle, de même que l’ouverture sur le monde et qui contribuent au bien-être et à la santé mentale des élèves.»

Former des citoyens responsables et épanouis

Elle assure que «les principes d’équité, d’inclusion et de réconciliation sont intégrés aux pratiques pédagogiques».

«L’école est un lieu important pour la promotion d’une santé mentale positive et pour le renforcement des compétences et la résilience des élèves.»

«En tant que Conseil scolaire catholique et francophone, nous nous engageons à former des citoyens responsables et épanouis, porteurs des valeurs de respect et de solidarité», a conclu la présidente Geneviève Grenier.

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