Quatre Parisiennes délurées se rencontrent pour draguer dans le quartier le plus hype, entre l’avenue Montaigne et la rue Saint-Honoré, pour s’offrir des dîners romantiques et pour papoter entre copines. L’une d’elle est Julia, une chaudasse de 40 ans qui, en moins de cinq minutes, peut harponner un mignon de 20 ans avec plus de métier qu’un pêcheur breton. Elle est la narratrice du roman Julia et ses Toy Boys, de Valérie Gans.
La maison First Éditions présente ce roman en faisant un parallèle avec la production américaine Desperate Housewives. Si vous avez aimé cette série télévisée, clame-t-elle, vous allez tomber sous le charme de Julia et ses Toy Boys.
L’éditeur ajoute: «Si vous êtes une femme de pouvoir, qui a réussi professionnellement et qui a de l’argent, il vous faut l’accessoire indispensable: un toy boy.» Vous devinez que ce roman français est culotté, sexy, glamour, pour ne pas dire carrément débridé.
Les quatre copines sont Julia, Chloé, Tiphaine et Laure. Julia n’est pas le genre à courir après les hommes car, en général, ils viennent tous seuls. Les hommes qu’elles croisent sont Peter, Alan et François-Xavier.
Précisions, au départ, que ces quatre femmes et trois hommes ne fonctionnent pas tous selon le même radar sexuel. Laure est mariée mais vit une aventure avec une autre femme; Peter s’enfonce dans une alcôve et se roule une pelle avec un autre homme. Alan et François-Xavier sont les toy boys de Julia.