Même si la représentation de la femme a évolué dans la bande dessinée – on est passée de ménagère stéréotypée à des héroïnes – il y a un nouveau combat aujourd’hui: la visibilité des femmes auteures de BD.
Selon la bédéiste Sandrine Revel, qui participait ce week-end au Toronto Comics Arts Festival à la Bibliothèque de référence, «les femmes sont presque aussi peu représentées en BD que dans l’armée»!
Cette dessinatrice française originaire de Bordeaux était aussi de passage à l’Alliance française de Toronto le 11 mai avec son compatriote Marcelino Truong ainsi que James Albon, bédéiste francophile originaire du Royaume-Uni.
La rencontre-discussion était placée sous l’égide du réseau Eunic (Instituts culturels nationaux de l’Union européenne).

Fascinée par Glenn Gould
Sandrine Revel est attirée par des artistes «extraordinaires» et ayant eu des parcours de vie captivants.