Enseignante des sciences dans une école privée, Louise Royer est une Franco-Ontarienne qui habite à Mississauga et qui aime écrire des histoires de science… fiction, où il est toujours question de transmutation des corps ou de téléportation. Son quatrième roman s’intitule d’ailleurs Téléportation et tours jumelles.
Ils ont été précédés d’iPod et minijupe au 18e siècle (2011), de Culotte et redingote au 21e siècle (2012), puis de Bastille et dynamite (2015). François et Sophie sont présents dans chaque épisode, leur rencontre demeurant le fruit d’une téléportation entre 2009 et 1767.
Record mondial de téléportations
Le principal personnage du quatrième épisode est Jake Stanford qui détient le record mondial du plus grand nombre de téléportations, ayant ainsi «l’habitude de l’éblouissement du siphon d’étincelles qui le fait apparaître instantanément ailleurs sur la planète».
Jake avait aidé François à s’échapper de la Bastille dans l’épisode précédent. Nous sommes maintenant en 2023 et Jake se voit confier la tâche d’étudier les déplacements des terroristes responsables de la destruction du World Trade Centre au cours du mois précédant l’attaque.
Entre 2023 et 2001
Nous naviguons entre 2023 et 2001; ces déplacements m’ont parfois paru un peu déroutants. Jake doit convaincre Laura, sœur d’un scientifique, de l’accompagner dans une expérience de téléportation. Elle y voit «une rocambolesque histoire, une tromperie, une supercherie monumentale».
Téléportation et haute technologie vont de pair. Il est question, par exemple, d’une bague qui contient une centaine d’atomes capables de recevoir, au moment de la téléportation, un code spécial du programme de simulation.