Samedi dernier, l’Alliance française de Toronto proposait au grand public le spectacle Survie du vivant. Présentée en collaboration avec le Théâtre français de Toronto, l’activité venait clore une semaine de programmation destinée aux élèves des écoles secondaires francophones de la région.
La proposition consistait en une conférence théâtralisée sur «la richesse et la beauté de l’interdépendance des êtres vivants». La partie conférence était portée par Julie Drouin, biologiste de formation, tandis que Jonathan Morier voyait à l’animation et à l’aspect théâtre.
Nouveaux concepts et nouveau vocabulaire
Pendant plus d’une heure, Julie Drouin a parlé de microbes, de bactéries et de virus, d’origine de la vie, d’arbres et de racines ou encore de champignons. Mais aussi et surtout d’interdépendance, de relations complémentaires et d’autres parasitaires.

Les jeunes spectateurs ont été introduits à de nouveaux concepts comme le mycélium des champignons, la photosynthèse des plantes ou la résilience des forêts. Sans oublier le vocabulaire scientifique comme théories, hypothèses, écosystèmes, biodiversité, etc.
Un petit vent de folie
Tout au long de la conférence, Julie et Jonathan échangeaient entre eux et engageaient leur jeune public en leur posant des questions.